SOIREE CABARET

Bien sûr tout commence par un apéritif dînatoire histoire de se mettre en forme

Bonjour Murielle, c’est moi Armstrong

le rédacteur de ce blog. Il n’entre pas dans mes habitudes d’agir ainsi mais à moment exceptionnel, manière de procéder exceptionnelle.

Si je te tutoye c’est tout simplement parce que je ne trouve pas d’autres moyens pour te remercier au nom de tous mes amis présents. Tu nous a offert une soirée mémorable avec ta gentillesse, ton gracieux sourire et ta bonne humeur communicative, tes œillades coquines …. Et puis ta jolie voix nous a bercés, avec quelques frissons, et nombre d’entre nous a fredonné des airs bien connus et peut-être un peu oubliés.

   

Nous avons beaucoup ri, surtout beaucoup ri et encore beaucoup ri!

Et puis tu as retrouvé tes amants de SAINT –JEAN, comme quoi rien n’est jamais perdu, les bras audacieux de JEAN –GERARD, beau parleur chaque fois qu’il te mentait

Tu n’avais pas su résister aux doux mots d’amour quand ils sont dis avec les yeux d’Alain

Eh oui comment ne pas perdre la tête quant les bras audacieux de Jacky se tendent vers toi

ou ceux d’un autre Alain

bien que tu étais folle de croire au bonheur.

Et puis l’ange est arrivé, fini les amants, voilà le mari,

 JEAN-LUC

Bien t’en a pris d’inviter BARBARA à ton spectacle,

JEAN-PIERRE où te caches-tu ? Se ne sont pas les jupes d’Esméralda dans ND de PARIS!

Même la tendre jeunesse a été conquise par ta prestation

En clôture de soirée notre diva JEANINE nous a offert encore un beau récital quelques

Sans le faire volontairement, tu as retrouvé trois Jean.

Reviens, Murielle, reviens égayer, si tu le peux, une longue soirée d’hiver où à 17 heure la nuit  et le froid nous confine dans nos logements. Apporte – nous ta joie même si nous avons un peu mal aux abdos à KRO le lendemain. Merci encore.

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